Eric Nonn, le plus jeune, est aussi le plus
    virulent dans son « Blanc métal ». Il jette
    aux orties la vieille boutique romanesque
    au profit d’une interrogation véhémente,
    ardente, forcenée, personnelle, héroïque,
    du corps humain. A la manière d’un Le
    Clézio new-look, il écoute et écrit les
    douleurs du corps. Il est à la fois médical
    et lyrique, voyant et scientifique. Il trace
    une sorte de poème panique sur les
    désastres d’un corps qui fut soumis, sans
    doute, à des drogues plus ou moins dures.

                Jacques Pierre Amette    Le Point.



Un livre dur et superbe à la fois que soutient
un style précis et tranchant comme le
scalpel d’un chirurgien. Eric Nonn est
d’abord et avant tout un grand écrivain.

          La Tribune.



 « Blanc métal », second roman d’Eric Nonn
 est un livre dur, qui fait mal à lire, mais
 c’est avant tout un très beau témoignage
 d’espoir.

                La Figaro.
 
Le roman d’Eric Nonn pourrait n’être
qu’un autre récit autour de la dérive du toxicomane.
Mais il y a là une radioscopie terrifiante et
des mots qui cognent si fort qu’on brise la
vitre dés les premières pages.

                Le Matin de Paris.



    Le sujet est traité de façon authentique,
    beaucoup d’émotion et de passages
    poignants.

                          L’Evènement du Jeudi.