Eric Nonn compose ainsi une sorte de contre-
Opéra dédié à la mémoire du poète disparu et
A la mélancolie de l’âge et des sentiments qui
A la fois unissent et séparent deux générations
Fort distantes l’une de l’autre. En évidente
Empathie avec la culture japonaise et avec toute
L’efficacité épurée d’un haïku.

      Ghislain Cotton       L’Express.